La note traite de l’ascension du risque souverain et de son impact sur l’économie et marchés financiers, en particulier sur le marché actions. Certains points qui ont été traités :
Transfert de risques (Public vs. Private) visible à travers la montée du coût de l’endettement, dégradation de la qualité de signature, inflation des coûts de production, impôts en hausse, flambée de la masse salariale, coût du risque en ascension, un cash rare et coûteux, credit crunch, etc.
Les banques résisteront, mais pas pour longtemps. La situation des loueurs est inquiétante (soutenabilité des modèles économiques). Les assureurs subissent l’inflation certes, mais profitent des rendements élevés
Premiers signes d’hésitation pour les bancaires impliquent une montée de la volatilité (cession de CC est cruciale)
La prime de risque actions touchera des niveaux record ? A plus de 10% ?!
La rotation sectorielle concernera plus de 59% du Tunindex, alimentant la volatilité. Les secteurs exportateurs devraient profiter encore de l’effondrement du TND.
La ruée vers les défensives ne serait pas toujours une stratégie gagnante (cas des Pharmas)
L’Etat n’est pas un bon actionnaire